La rectocolite une maladie auto-immune spécifique de deux organes, principalement le côlon et le rectum. Il y a le qualificatif “hémorragique” pour signifier que la maladie se traduit par des saignements du côlon et/ou du rectum – voire de l’anus, pour celles et ceux qui ont également des fissures anales. C’est aussi principalement ce qui la différencie de la maladie de Crohn, laquelle ne se manifeste en principe pas par des saignements. D’autres symptômes sont caractéristiques de la rectocolite hémorragique, nous les verrons plus loin. Dans cet article, je vous présente en qualité d’anthropologue de la rectocolite les différents traitement complémentaires qui peuvent être associés à cette pathologie. Vous verrez, probablement à votre grande surprise qu’il y a quelques contre-indications inattendues. Au passage, si vous souhaitez en savoir plus sur mon activité ou me consulter, vous pouvez cliquer ici.

 

 

RCH, colite ulcéreuse ou RCUH ? Plusieurs dénominations

 

 

Il existe en effet plusieurs manières de parler de cette même maladie, en fonction des époques mais aussi des contextes culturels. Dans les pays européens francophones comme la Belgique, la France ou la Suisse, on parle plus volontiers de “rectocolite hémorragique” ou on emploie son acronyme RCH. Au Canada en revanche, la dénomination usuelle est plutôt la “colite ulcéreuse” qui est en fait l’anglicisme de “ulcerative colitis”.

 

 

A l’époque, cette maladie était plus connue sous l’appellation “rectocolite ulcérique hémorragique” (RCUH), laquelle me semble plus complète car elle renseigne sur la présence d’ulcérations ou d’ulcères au niveau du côlon et du rectum. Lorsque les ulcères sont profonds, il y a saignements mais pas automatiquement. Dans des cas de maladie de crohn, les ulcères peuvent être plus creusants mais sans saignement. Toujours est-il qu’il semble qu’aujourd’hui, la tendance nominale s’en tienne à la terminologie “rectocolite hémorragique” ou simplement l’acronyme “RCH”, plus simple, plus pratique.

 

 

Aujourd’hui, nombreux sont les patients souffrant de rectocolite hémorragique confrontés aux limites de la médecine et des traitements conventionnels. Les symptômes persistent parfois aux traitements. Heureusement, il existe des moyens de les gérer.

 

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Comprendre la rectocolite : Causes et symptômes

 

 

La rectocolite est une maladie auto-immune dans laquelle le système immunitaire attaque la muqueuse du côlon et du rectum. Les symptômes officiels comprennent des douleurs abdominales, des crampes, de la diarrhée, des saignements rectaux, des « faux besoins » et une fatigue chronique. Mais selon l’approche ptilara, il existe des symptômes préliminaires qui annonce une poussée comme la production excessive de gaz, des petite douleurs articulaires, un peu de mucus dans les selles ou un besoin d’aller aux toilettes aux moments des repas.

 

 

Le traitement conventionnel de la rectocolite

 

 

Le traitement conventionnel de la rectocolite comprend des médicaments anti-inflammatoires, des immunosuppresseurs et des corticostéroïdes. Les patients reçoivent en principe en tout premier lieu une antibiothérapie (en cas de suspicion de parasites ou de bactéries pathogènes) du pentasa ainsi que des corticoïdes (exemple cortisone, prednisone, hydrocortisone, etc.). Si “la réponse est insuffisante”, c’est-à-dire que le traitement n’est pas assez efficace, il arrive que les médecins couplent cette médication avec un immunosuppresseur. Parmi les plus connus, on peut citer l’entyvio, le rémicade ou xel-janz. Si cela ne suffit toujours pas, alors la stratégie est souvent de passer à la combothérapie, dans le sens où on va combiner différents immunosuppresseurs, deux pour la “bithérapie” et trois pour la “trithérapie”. Enfin, si la combothérapie est un échec, la dernière option, telle qu’elle est présentée par les gastro-entérologues est le plus souvent la chirurgie car ils considèrent que c’est un état pré-cancéreux. On va alors pratiquer une ablation de la partie malade du côlon (une “résection de la portion malade”) ou de presque tout le côlon (une colectomie). 

 

 

 Dans les cas graves, une intervention chirurgicale peut être nécessaire. Bien que ces traitements soient souvent efficaces, ils peuvent causer des effets secondaires indésirables.

 

 

Les traitements actuels sont-ils 100% satisfaisants ?

 

 

Les toutes premières poussées de rectocolite hémorragique sont généralement bien traitées par les traitements médicaux actuels. Les patients sont assez vite soulagés. Ils reçoivent en principe en tout premier lieu une antibiothérapie (en cas de suspicion de parasites ou de bactéries pathogènes) ensuite du pentasa ainsi que des corticoïdes (exemple cortisone, prednisone, hydrocortisone, etc.). Si “la réponse est insuffisante”, c’est-à-dire que le traitement n’est pas assez efficace, il arrive que les médecins couplent cette médication avec un immunosuppresseur. Parmi les plus connus, on peut citer l’entyvio, le rémicade ou le xel-janz. Si cela ne suffit toujours pas, alors la stratégie est souvent de passer à la combothérapie, dans le sens où il est question de combiner différents immunosuppresseurs, deux pour la “bithérapie” et trois pour la “trithérapie”. Enfin, si la combothérapie est un échec, la dernière option, telle qu’elle est présentée par les gastro-entérologues, est le plus souvent la chirurgie car ils considèrent que c’est un état pré-cancéreux. On va alors pratiquer une ablation de la partie malade du côlon (une “résection de la portion malade”) ou de presque tout le côlon (une colectomie). 

 

 

Si la première poussée est le plus souvent bien stabilisée, il arrive que les suivantes soient un peu plus résistantes. C’est dans ces cas précis qu’un traitement complémentaire (et non alternatif) peut être intéressant. L’un des moments les plus critiques est la phase de sevrage de la cortisone. Lorsque les patients atteignent le seuil de 10mg/jour, les saignements ont tendance à refaire surface. Alors, il devient intéressant de trouver des thérapies complémentaires afin de potentialiser l’efficacité de la médication qui est manifestement en perte d’efficacité.

 

 

Les avantages des traitements complémentaires

 

 

Certains patients cherchent des options de traitements complémentaires pour gérer les symptômes de la maladie. Dans cet article, nous allons explorer les traitements complémentaires pour la rectocolite et comment ils peuvent aider à améliorer la qualité de vie des patients atteints de cette maladie. Les traitements complémentaires peuvent aider à améliorer les symptômes de la rectocolite sans causer d’effets secondaires indésirables. Ces traitements comprennent la nutrition, les plantes médicinales, les huiles essentielles, les probiotiques, les thérapies complémentaires et une approche holistique.

 

 

L’importance de la nutrition pour les patients atteints de rectocolite

 

 

La nutrition est un aspect important du traitement de la rectocolite. Les patients atteints de cette maladie devraient éviter les aliments qui déclenchent les symptômes, officiellement ce sont les aliments riches en fibres, les produits laitiers, les aliments épicés, les aliments gras et l’alcool. Mais en réalité, il y a bien plus de subtilités que cela. En effet, les patients devraient également inclure des aliments riches en nutriments et faciles à digérer, tels que les fruits et légumes cuits, les protéines maigres, les céréales pauvres en lectines et les graisses crues. Pour plus d’informations, consulter cette vidéo. Si ce régime est trop difficile à mener seul(e), pensez à vous faire accompagner par un(e) nutritionniste compétent. Pour savoir comment en trouver un(e), consultez cet article.

 

 

Les plantes médicinales pour traiter la rectocolite

 

 

Certaines plantes médicinales ont des propriétés anti-inflammatoires et peuvent aider à réduire les symptômes de la rectocolite. Par exemple, la camomille, l’écorce de saule, la tisane de fenouil et l’aloe vera peuvent aider à réduire l’inflammation dans le côlon et à soulager les douleurs abdominales. Cependant, il est important de parler à un professionnel de la santé avant de prendre des suppléments à base de plantes, car certains peuvent interagir avec d’autres médicaments.

 

 

Les huiles essentielles pour réduire l’inflammation

 

 

Les huiles essentielles peuvent être utilisées pour aider à réduire l’inflammation et à soulager les douleurs abdominales associées à la rectocolite. Par exemple, l’huile essentielle de camomille romaine peut aider à soulager les crampes et les douleurs abdominales, tandis que l’huile essentielle de lavande peut aider à réduire l’inflammation et à favoriser la relaxation. Mais elles demeurent à utiliser avec grande prudence et ne sont pas non plus indispensables.

 

 

Les probiotiques pour améliorer la santé intestinale

 

 

Les probiotiques sont des bactéries bénéfiques qui peuvent aider à améliorer la santé intestinale et à réduire les symptômes de la rectocolite, pour autant que la personne ne souffre pas de SIBO. Pour cette raison, il est important de parler à un professionnel de la santé avant de prendre des suppléments probiotiques, car ils peuvent ne pas être adaptés à tous les patients atteints de rectocolite et aggraver la situation.

 

 

Le stress et la rectocolite : Comment réduire le stress pour améliorer les symptômes

 

 

Le stress peut déclencher ou amplifier les symptômes de la rectocolite et aggraver la maladie. Il est important pour les patients atteints de rectocolite de trouver des moyens de réduire le stress, tels que la pratique régulière d’exercices de relaxation tels que le yoga ou la méditation, ou des activités qui favorisent la détente, comme la marche, le jardinage ou la lecture. Par ailleurs, une alimentation inadaptée durant la poussée favorise un stress à l’organisme, plus particulièrement à ses organes digestifs. Pour cette raison, il important de s’interroger sur son alimentation lorsqu’on est atteint de rectocolite.

 

 

Les thérapies complémentaires pour soulager la douleur

 

 

Les thérapies complémentaires telles que l’acuponcture, la chiropraxie et la massothérapie peuvent aider à soulager la douleur mais ils ont tendance à déclencher des envies afécales (appelés les « faux besoins ») dans le contexte de la rectocolite. Il vaut mieux se tourner vers les magnétiseurs, les énergéticiens, les sophrologues ou les hypnothérapeutes dont les techniques sont moins invasives tout ayant un rayon d’action profond frontière de la cellule.

 

 

Les thérapies complémentaires agissant directement dans les cellules

 

 

Cela va bien évidemment dépendre du thérapeute mais de manière générale, le côlon répond très bien aux thérapies douces et profondes telles que le magnétisme, les thérapies énergétiques et l’hypnose. Il semble que les colonocytes y soient particulièrement réceptifs. Bien entendu, l’intérêt dans cette thérapie est la répétition afin de vraiment ancrer des nouveaux mécanismes d’action. Idéalement, il serait bien d’écouter une hypnose du côlon le soir avant de s’endormir. Vous en trouverez une sur ce lien.

 

 

Les thérapies complémentaires contre-indiquées pour la rectocolite

 

 

Souvent, des patients bien intentionnés envers eux-êmes vont mettre en place diverses actions qui en réalité vont aggraver la situation. En réalité, il faut comprendre que toute thérapie qui sollicite brusquement le côlon est à exclure. Dans cette logique, les torsions effectuées durant un exercice de yoga peuvent induire des envies afécales sur le moment ou juste après l’activité. De même, l’acuponcture, selon le méridien sur lequel elle travaille, peut déclencher des symptômes tels que des faux-besoins. Le massage du bas du dos ou pire, de l’abdomen est néfaste pour le côlon. Enfin, certains exercices de musculation ne sont pas recommandés tels que le gainage, les abdominaux et les altères. De manière générale, porter des charges, même un sac de courses, challengent le côlon.

 

 

Ces thérapies vont à l’encontre de la ré-éducation du côlon et il faut en avoir conscience. Un être averti en vaut deux.

 

 

L’importance d’une approche holistique pour le traitement de la rectocolite

 

 

L’approche holistique pour le traitement de la rectocolite implique de traiter la maladie dans son ensemble, en considérant les aspects physiques, émotionnels et spirituels de la santé. Cela peut inclure des changements de mode de vie, une alimentation soignante et équilibrée, des traitements médicaux conventionnels et complémentaires, des techniques de gestion du stress et de la relaxation, ainsi que des pratiques spirituelles telles que la méditation ou la prière. Une thérapie complémentaire qui incarne cette approche est la méthode ptilara qui est basée sur le principe d’une ré-éducation holistique du côlon. Elle comprend une nutrithérapie empirique particulière (pauvre en mauvaises lectines, riche en acide butyrique), une ré-éducation du côlon (comment ménager le côlon dans son quotidien) et une re-programmation de ce dernier à travers de l’hypnose.

 

 

Conclusion

 

 

La rectocolite est une maladie chronique qui peut avoir un impact significatif sur la qualité de vie des patients. Bien que les traitements conventionnels soient souvent efficaces, de nombreux patients cherchent des options de traitement complémentaires pour gérer les symptômes de la maladie. Les traitements complémentaires, tels que la nutrition, les plantes médicinales, les huiles essentielles et les thérapies complémentaires peuvent aider à améliorer les symptômes de la rectocolite sans causer d’effets secondaires indésirables. Cependant, il est important de parler à un professionnel de la santé avant de commencer tout nouveau traitement. Une approche holistique pour le traitement de la rectocolite peut aider à traiter la maladie dans son ensemble, en considérant les aspects physiques, émotionnels et spirituels de la santé.

 

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