Introduction : RCH Aliments interdits
La rectocolite hémorragique (RCH) est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin qui provoque une inflammation du gros intestin et du rectum. Dans cet article, nous allons discuter des aliments que les personnes atteintes de RCH devraient éviter afin de minimiser les symptômes et prévenir les poussées.
Cette pathologie engendre une inflammation chronique du côlon et du rectum, entraînant des symptômes tels que des douleurs abdominales, des diarrhées sanglantes, de la fatigue et une altération générale de la qualité de vie.
La formation RÉmission durable
La solution pour gérer la rectocolite hémorragique
Découvrez une approche anthroplogique pour prendre soin de votre côlon et gérer la rectocolite Hémorragique (RCH).
Les aliments à éviter en cas de RCH
Dans ce qui est couramment véhiculé par les diététiciens, voire certains gastro-entérologues modernes, les classes d’aliments suivants sont déconseillées en cas de poussée RCH :
a) les aliments riches en fibres insolubles, tels que les grains entiers, les noix et les légumes crus, peuvent être difficiles à digérer et aggraver les symptômes de la RCH ;
b) Les molécules pro-inflammatoires comme la caséine contenue dans les produits laitiers et le lactose ou le gluten contenu dans certaines céréales peuvent causer des troubles digestifs chez certaines personnes atteintes de RCH ;
c) Les aliments épicés, frits et gras peuvent irriter la muqueuse intestinale et déclencher des symptômes tels que des douleurs abdominales et des diarrhées sanglantes ;
Pour aller plus loin, il existe une liste précise des aliments interdits en cas de poussée RCH dans l’approche de la méthode ptilara. Cette liste est basée sur des recherches anthropologiques de terrain. Y figurent notamment les oeufs de poule, souvent indigestes pour les RCH, qu’il faut remplacer par les oeufs de caille, les aliments cuits au four et les graisses cuites.
Cela étant, la composition des aliments n’est pas le seul paramètre impactant le côlon selon ladite méthode; la manière dont l’aliment va glisser dans le tube digestif est aussi prise en compte. Pour cette raison, il s’agit de méthode et non pas uniquement de régime, car il est question de ré-éducation globale du tube digestif. Cette méthode permet d’expliquer qu’un même plat peut passer un jour et pas un autre.
Ou vous souhaitez me contacter pour en savoir plus ?
Je vous propose de caler un entretien.
Les substituts d’aliments recommandés
Les personnes atteintes de RCH peuvent considérer des substituts d’aliments pour remplacer ceux qu’ils doivent éviter. Par exemple, ils peuvent opter pour des céréales raffinées au lieu de grains entiers, des alternatives sans lactose pour les produits laitiers, et des épices douces pour éviter les aliments épicés comme le safran et le curcuma.
L’importance de l’alimentation personnalisée
Chaque personne atteinte de RCH peut présenter une tolérance alimentaire différente. Il est donc important de tenir un journal alimentaire pour identifier les aliments spécifiques qui déclenchent des symptômes. Travailler avec un professionnel de la santé, comme un diététicien, un(e) thérapeute ptilara ou un gastro-entérologue, peut aider à établir un plan alimentaire personnalisé en fonction des besoins individuels.
Conclusion
En évitant les aliments qui peuvent aggraver les symptômes de la RCH, les personnes atteintes peuvent potentiellement réduire les poussées et améliorer leur qualité de vie. Cependant, il est essentiel de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des conseils nutritionnels adaptés à chaque cas spécifique de RCH.
La Méthode Ptilara : une approche complémentaire
C’est du moins ce que véhicule la méthode ptilara, une approche complémentaire qui vise à potentialiser l’action des traitements chez les personnes atteintes de RCH tout en renforcer l’absorption naturelle du tube digestif.
La méthode ptilara ne prétend pas guérir la rectocolite (même un médicament ne le peut pas – au mieux, il induit une rémission).
Cependant, elle offre la possibilité d’améliorer l’efficacité des traitements médicaux chez les patients qui les suivent en manipulant les paramètres environnementaux des patients (alimentation, activité physique, anxiété et inconscient).
Mieux encore, elle apporte des bénéfices aux personnes non médiquées voire des rémissions, bien que cela exige une plus grande discipline de la part des sujets.
Intégrer l’environnement dans la prise en charge
Il est temps d’adopter une approche plus holistique de la prise en charge de la rectocolite hémorragique. Les professionnels de la santé et les patients doivent collaborer pour mieux comprendre l’importance de l’environnement dans le processus thérapeutique.
Une alimentation adaptée, une activité physique régulière, la gestion du stress et de l’anxiété peuvent contribuer à renforcer les effets bénéfiques des traitements médicaux traditionnels.
Bonjour à tous ceux qui sont atteints de RCH .
Mon fils Aaron de 16ans est atteint depuis un an . Bien sûr en tant que pharmacien je me suis tourné vers la médication traditionnelle cortisone ..etc sans trop de succès.
J’ai alors été motivé par Lara et Christophe pour essayer une autre approche qui me semblait plus globale . La méthode ptilara avec sa box a permis d’améliorer de façon indéniable ses symptômes .
Tout le long de ce parcours , Lara a été à l’écoute , attentive , essayant de trouver des solutions au fur à mesure , prenant même sur son temps ! Son implication est d’un réconfort énorme dans ces périodes délicates. Aujourd’hui Aaron a un transit normal . Bien sûr la vigilance est de mise . Je pense que la méthode PTILARA est une clé importante pour la gestion de cette maladie . Merci infiniment Lara
Lors d’un beau matin ensoleillé de la fin août 2023, le diagnostique medical tombe : RCH ! j’avais 62 ans et n’en n’avais jamais entendu parlé !
À la clé 5g de Pantasa à vie avec pour tout conseil, ne plus manger de fruits et légumes crus !
L’incompréhension va être le moteur de mes recherches, trouver une vraie solution, sans médication !
Finalement je finis par tomber sur ce qui s’apparente à une publicité. Méfiante, j’hésite longuement et finalement j’ai un contact avec Lara.
Et je commence le programme, plutôt austère je dois bien l’avouer ! Très vite les symptômes s’estompent, puis disparaissent. Lara est présente à mes côtés pour ajuster de semaine en semaine ma prise en charge et m’encourage.
Quel bonheur de pouvoir parler d’un sujet ô combien intime, comme si on parlait de la pluie et du beau temps ! Lara questionne, écoute et oriente. C’est déterminant pour moi ! Et tellement motivant !
Aujourd’hui, si je me suis autorisée à réduire progressivement ma posologie de 5g à 3g (et je ne doute pas de l’arrêter à terme), c’est bien grâce à son accompagnement.
Que dire ? Sinon un Merci, un très grand Merci du fond du cœur.