Une lueur d’Espoir pour les patients atteints de rectocolite hémorragique
La rectocolite hémorragique (RCH), également connue sous le nom de colite ulcéreuse au Canada, est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin qui affecte des millions de personnes à travers le monde. Autrefois considérée comme une maladie touchant principalement les cinquantenaires, elle touche désormais également des enfants, parfois même dès le plus jeune âge.
Cette pathologie engendre une inflammation chronique du côlon et du rectum, entraînant des symptômes tels que des douleurs abdominales, des diarrhées sanglantes, de la fatigue et une altération générale de la qualité de vie.
Il est possible d’apprendre à mieux gérer ces symptômes en suivant la formation suivante :
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La solution pour gérer la rectocolite hémorragique
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Traitement RCH 2023, vers de nouveaux horizons thérapeutiques
Chaque année, un nouveau traitement RCH est proposé par un laboratoire dans l’optique de mieux prendre en charge la rectocolite hémorragique. En 2023, une lueur d’espoir émerge avec l’avènement de l’abivax, également connu sous le nom de médicament « obefazimod ».
Une étude récente parue dans la littérature médicale internationale (Apolit, Campos et al., 2023) a montré des résultats prometteurs de cet agent thérapeutique chez 254 patients atteints de rectocolite modérée à sévère, avec un taux de rémission clinique encourageant.
L’environnement : un allié pour l’effet des traitements
Toutefois, il est important de comprendre que l’efficacité d’un traitement est aussi contextuelle. Dans nos sociétés, on a tendance à considérer qu’un médicament est « efficace » en soi ou « inefficace », de manière indépendant par rapport à l’organisme de la personne.
Mais leur efficacité ne repose pas uniquement sur le médicament lui-même. L’efficacité d’un traitement peut être conjointement conditionné par l’environnement dans lequel évolue le patient. L’alimentation, l’activité physique, l’anxiété et l’inconscient du malade jouent un rôle essentiel dans l’impact d’un traitement sur sa rectocolite hémorragique.
La Méthode Ptilara : une approche complémentaire
C’est du moins ce que véhicule la méthode ptilara, une approche complémentaire qui vise à potentialiser l’action des traitements chez les personnes atteintes de RCH.
La méthode ptilara ne prétend pas guérir la rectocolite (même un médicament ne le peut pas – au mieux, il enclenche une rémission).
Cependant, elle offre la possibilité d’améliorer l’efficacité des traitements médicaux chez les patients qui les suivent en manipulant les paramètres environnementaux des patients (alimentation, activité physique, anxiété et inconscient).
Mieux encore, elle apporte des bénéfices aux personnes non médiquées voire des rémissions, bien que cela exige une plus grande discipline de la part des sujets.
Pour plus de renseignement sur la méthode Ptilara, n’hésitez pas à bénéficier d’un échange gratuit !
Intégrer l’environnement dans la prise en charge
Il est temps d’adopter une approche plus holistique de la prise en charge de la rectocolite hémorragique. Les professionnels de la santé et les patients doivent collaborer pour mieux comprendre l’importance de l’environnement dans le processus thérapeutique.
Une alimentation adaptée, une activité physique régulière, la gestion du stress et de l’anxiété peuvent contribuer à renforcer les effets bénéfiques des traitements médicaux traditionnels.
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Conclusion, nouveau traitement RCH : un avenir plein d’espoir !
En conclusion, l’année 2023 marque une étape importante dans la recherche de nouveaux traitements pour la RCH (rectocolite hémorragique), avec l’émergence de l’abivax. Cependant, il est essentiel de ne pas sous-estimer l’influence de l’environnement dans l’efficacité des traitements.
La méthode ptilara propose une approche complémentaire intéressante pour potentialiser les effets des traitements chez les patients atteints de RCH. En intégrant ces approches complémentaires à la prise en charge traditionnelle, nous pouvons envisager un avenir plein d’espoir pour les patients vivant avec cette maladie chronique.
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